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Palmarès des inventions primées au concours Lépine depuis 1901.
Quelques photos et des anciens métiers de « charbonniers » comme au temps de Germinal.
Rechercher ses ancêtres n’est pas facile. Loin des centres d’archivage, variations de noms, erreurs propagées,…, voici quelques points qui n’aident pas…
Alors, à mon avis, voici ce qu’il faut faire et éviter aussi,
Vous partez de vous, vos parents et grands-parents. Si vos aïeux sont en vies, leurs mémoires vous permettront d’avoir une bonne base de départ. Si ce n’est pas le cas, la famille proche (cousins, tontons,…) peuvent vous aiguiller sur des noms, lieux et dates. Si malheureusement cela n’est pas possible, cela commence à se compliquer, surtout que les actes inférieurs à 100 ans ne sont pas disponibles.
Avec un minimum d’information, vous pouvez commencer. Je vous conseille de saisir vos données grâce à un outil spécialisé. Il y a des outils en ligne et d’autres qui fonctionnent en local sur votre ordinateur. Cet étape est importante, faute de quoi, vous risquez d’être très vite débordé et de ne plus trouver une information ou autre chose.
Vous serez vite confrontés aux variantes de noms. Sur les actes anciens, c’est des fois écrit comme c’est dit. Je vous conseille si votre logiciel ne gére pas les variantes, de les écrire comme vous les trouvez. Vous les corrigerez au besoin avec l’acte. C’est important, car si pour vous, il s’appelle Fissiaux (disons que c’est votre nom), et qu’il est souvent écrit Ficiau ou Fichaut, il faudra orienter vos recherches avec ces derniers noms.
Pour les autres généalogistes, c’est Fichaux.
Viens l’étape de recherche en ligne. A mon avis, il faut chercher, par exemple sur des sites spécialisés2 sur lesquelles d’autres personnes ont déposé leurs arbres. Et là, il faut accumuler les informations mais garder à l’esprit que celles ci ne sont pas forcément justes mais des bases pour faire d’autres recherches plus ciblées. Par exemple, vous trouvez un mariage avec les parents nommés, et bien, il faudra vérifier sur cet acte la véracité de cette information. L’important étant d’avoir un nom, une date (même approximative ou estimée) et un lieu. Pensez aux variantes possibles.
Avec ces quelques données, il vous faut chercher les actes, paroissiaux, d’état civil ou autres. De plus en plus de conseil généraux mettent à disposition des internautes, l’intégralité des actes pour les communes du département. Avec les lieux et les dates, rechercher et copier les actes et bien les lire, il y a souvent d’autres indices comme les parrains, marraines, des lieux d’origine, des notes en marge,…
En repartant des ancêtres les plus jeunes, regarder l’intégralité des actes d’une commune. En effet, vous avez pu tomber sur des infos parcellaires, par exemple, le généalogiste qui a mis en ligne ne s’est interessé qu’à l’épouse et ses parents de l’individu de sa branche sans regarder s’il y avait des fréres ou soeurs. Si vous ne compulsez pas le registre, vous ne les trouverez pas.
Remonter dans le temps est plus simple pour les recherches.
Vous avez aussi les archives « physiques ». Si rien n’est en ligne, et que seul la lecture de l’original est possible, il vous reste le déplacement ou l’entraide entre généalogistes.
Ensuite, il y a des groupes de discussions, des forums sur lesquels vous pouvez demandez des informations, même des actes, enfin, tout ce qui peut vous être utile.
N’hésitez pas.
Enfin, je pense qu’il faut partager et participer à l’entraide. Vous avez peut-être croisé un nom lors de vos recherches. Peut-être que ceci interessera quelqu’un qui recherche ses ancêtres. De toute façon, à un moment ou un autre, si vous voulez continuer, il faudra participer pour recevoir.
Dernier conseil, partager vos données. Tout ce travail pour rester sur un disque dur ou au fond d’un placard et finir à la cave ou au grenier…
J’ai commencé ce site, il y a quelque temps maintenant, avant les années 2000.
Au départ, le sujet est intéressant et j’avais le besoin de faire partager cette partie de notre histoire de France.
Pas de prétentions, juste quelques informations posées sur la toile
Suivez le guide…
Jm.
Le fort Laramie, la rivière Laramie, la ville de Laramie, la montagne Laramie dans le Wyoming…
Jacques Laramée, descendants de Jacques Fissiau dit Laramée est né au Québec, Canada vers 1730
Extrait du légendaire Jacques La Ramée (Une interprétation de la «preuve par ouï-dire» de la vie et la mort de Jacques Laramée), par Cameron Talbot Miller, Kathryn Bagby, Jeremy Rambo
Tout au long du Wyoming nombreux monuments sont nommés d’après le nom d’un trappeur canadien-français. Ce sont la rivière Laramie, le pic de Laramie, les plaines Laramie, Laramie County, Fort Laramie, la ville de Fort Laramie, et la ville de Laramie. Jacques Laramée (Laramée, Laramé, Laramie, De la ramie, de la Rame, ou La Ramée, il est orthographié différemment avec presque toutes les sources citées) était un homme mystérieux avec une influence évidente. Il a intéressé par son histoire, Chittenden en 1935; Coutant en 1899; Fetter en 1982 , McDermott en 1968 et Pitcher en 2000.
Jacques Laramée est apparemment perdu avec son histoire complète, mais avec de plus amples recherches, on peut commencer à comprendre son impact historique.
Non seulement il existe différentes orthographes de son nom de famille, mais certains historiens aussi se demande si Jacques était réellement son prénom. Certains vont même jusqu’à dire que c’était Baptiste. Il y en a d’autres qui affirment que son prénom était Joseph, ce qui peut être plus précis (Pitcher, 2000).
J. Edmond Laramée, un soi-disant descendant de Laramée le trappeur, retrace la lignée du trappeur (qui aurait été le grand-père de Jacques Laramée). Les parents de Jacques sont considérés comme ayant été Joseph Fissiau dit Laramée et Jeanne Mondou de Yamaska (St Michel), Québec.
D’autres dossiers montrent que le père Joseph eut cinq fils, «aucun d’entre eux a été nommé Jacques ou Baptiste. Toutefois, le troisième fils, qui est né le 8 Juin 1784, portait le nom de Joseph. « Le nom de Jacques a d’abord été utilisé par le Dr CG Coutant et c’est probablement la raison pour laquelle de nombreux historiens l’ont utiliser aujourd’hui (McDermott, 1968).
Parmi les fragments de la biographie de Laramée, un homme de caractère intègre et indépendant commence à émerger. Selon le Dr C.G. Histoire Coutant de Wyoming, il est entré aux États-Unis autour de 1815 avec la Compagnie du Nord-Ouest, un acteur majeur dans l’industrie de la fourrure qui a été impliqué dans une querelle permanente avec une société concurrente, la Hudson Bay Company. Ces compagnies de fourrures concurrentes ont souvent créé de la concurrence entre les employés, ce qui a abouti à de la violence. Laramée amenait un groupe de trappeurs « libres », et ils ont commencé à piéger le cours supérieur de la Platte du Nord (Fetter, 1982).
Le succès de Laramée était dû à sa renommée et sa réputation pacifique. Ses compagnons trappeurs libres partageaient sa théorie d’un monde vaste et qu’il y avait assez de place pour tous.
Laramée a conduit sa bande de trappeurs travaillant dur, pacifiques, sur un territoire incontesté où ils pouvaient piéger une abondance de fourrure sans querelle. En plus, Laramée et les plus autres avaient une réputation d’honnêteté et d’égalité. Laramée et son parti ont lié d’amitié avec de nombreuses tribus indiennes. Ces indigènes ont tenu Laramée en haute estime. La bande de trappeurs a continué de croître en succès, avec des amis indigènes, qui vendaient les peaux à l’organisation Laramée (Coutant, 1899).
Jacques Laramée et son entreprise honnête ont contribué à faire un événement précoce important dans le Wyoming, le rendez-vous des trappeurs libre. Les rendez-vous avaient lieu dans le Missouri et le Mississippi pendant des années, en raison de leur efficacité. Lors d’un rendez-vous, le trappeur pouvait faire son propre commerce et donc d’éviter l’homme du milieu, qui est souvent un employé d’une grande société de commerce. Merci à Laramée qui a introduit la liberté nouvelle de pouvoir commercer avec qui on voulait. Le Wyoming a maintenant sa propre version d’un rendez-vous (Coutant, 1899). Les trappeurs se réunissait chaque année et échangeait leurs peaux contre des biens et les fournitures dont ils auraient besoin pour l’année à venir. Ce serait aussi un moment de fête et de camaraderie. Les trappeurs partageait des histoires, et Laramée, le personnage principal, est généralement le centre de l’attention. Son rendez-vous avait lieu à l’embouchure de la rivière qui, plus tard, les trappeurs au moins, est devenu rivière Laramie (McDermott, 1968).
Tout comme la plupart de la vie Jacques Laramée, l’histoire de sa mort sont compilés à partir de ouï-dire. Il est dit que Laramée aventuré hors de piéger le long de la rivière Laramie, et de ses contributeurs. Ce pays a été connu pour être un champ de bataille dangereux entre nord et sud des tribus amérindiennes. Le non respect des avertissements et des plaidoiries de ses compagnons, Laramée courageusement suivi ses plans pour ouvrir ce qu’il pensait probablement que comme un territoire de piégeage préférentiel. Il partit fidèlement mettre sa protection dans les mains de ses amis indigènes (Coutant, 1899). Lorsque Laramée ne s’est pas présenté à son rendez-vous l’année suivante, un groupe de recherche a été formé pour le retrouver lui-même ou ses restes. Une version est que son corps a été retrouvé dans une petite cabane. Les Arapahos ont été rapidement accusé, mais ils ont vigoureusement nié (après tout, ils étaient des alliés Laramée (McDermott, 1968)).
Cela a déclenché un nouveau conflit génocidaire entre les «sauvages» qui trahissent et les trappeurs Laramée, sans parler de presque tous les autres trappeurs qui ont voyagé à travers le Wyoming. Ce fut une guerre terrible, chose pour laquelle Laramée n’aurait sûrement pas voulu être associé (Coutant, 1899).
Une version différente, qui a été documenté par Janet Lecompte, implique Pierre Lespérance, qui prétendait être un témoin oculaire de la mort Laramée. L’histoire de Lesperance comprend deux autres trappeurs non identifiés qui campaient avec Laramée sur la rivière Laramie. Selon Lesperance le camp a été attaqué par des maraudeurs indiens et Laramée a été tué. Ses camarades l’ont enterré où il était couché »(McDermott, 1986).
La plupart des histoires de la mort de Laramée cerne l’assassin sur les « Native American » (les Arapahos). Certains prétendent que ses restes ont été bourré sous la glace d’un barrage de castors (Pitcher, 2000).
Il n’y a pas de doute, Jacques Laramée a existé. Cependant, quand un grand homme meurt, la légende lui réussit souvent. Ces légendes peuvent parfois remplacer des parties de la vérité par des récits embellis de gloire. Il a mené ses personnes, autres trappeurs libres et commerçants, à l’aventure et à la prospérité, au prix de sa propre vie. La vérité historique peut diminuée une telle légende, mais la vie de Laramée, sa légende et son sacrifice ont contribué à façonner le Wyoming en ce qu’elle est: une combinaison de beauté tranquille et un mélange de la culture contemporaine et classique.
Retrouvez ces ascendants, de Joseph Fissiau dit Laramée à Jacques Fissiau, né à Blois en France
Un illustre cousin…
Dans la région de Marseille, le père Charles Joseph Marius Fissiaux et ses oeuvres.
Bonne lecture,
Jm.